Il existe plus qui nous unis de qui nous divise


 

“Ensemble, nous pouvons faire plus”

Le «tissu» de qui nous sommes aujourd’hui et ce que nous pouvons devenir demain est tissé de fils de notre histoire et de culture. Ces fils de l’histoire et de la culture existent également avec notre emploi, comme des encouragements pour l’équipe à domicile, beaucoup d’entre nous au CUSM sont fiers dans le site ou le service que nous travaillons pour et dans la qualité du travail que nous produisons.

Cette fierté pour un site ou un service particulier est sain, productif et un compliment généreux sur le site ou un service particulier. Malheureusement, avec les changements ont lieu tout au long du CUSM ces sentiments de fierté départemental, d’appartenance à un domaine particulier, risque de créer l’apathie et la division entre nous.

 

D’abord ils sont venus pour les socialistes, et je n’ai rien dit parce que je n’étais pas socialiste.
Puis ils sont venus chercher les syndicalistes, je n’ai rien dit parce que je n’étais pas syndicaliste.
Puis ils sont venus chercher les juifs, je n’ai rien dit parce que je n’étais pas un Juif.
Puis ils sont venus pour moi, et il n’y avait plus personne pour parler pour moi.

Martin Niemöller

 

Nous sommes en ce moment dans notre histoire face à la plus grande attaque sur nos membres et sur ​​la nécessité de rester unis et forts n’a jamais été aussi grande. Si nous permettons à notre indifférence, l’apathie des besoins de nos collègues à continuer, nous allons devenir divisés et faibles.

Au moment où nous décidons de rester à côté de l’autre indépendamment de ‘quel département et site qui nous travaillons.  Quand nous agissons avec la connaissance que nous partageons deux dénominateurs communs importants, nous sommes membres de la race humaine et nous faisons partie de la classe ouvrière, nous devenons uni et plus fort.