Partie 2 de l’article de la Gazette de Montréal sur la sécurité à l’Hôpital général de Montréal
Vous trouverez ci-dessous des extraits de la partie 2 de la Gazette de Montréal sur la sécurité à l’HGM.
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L’Hôpital général de Montréal rapporte beaucoup plus d’incidents violents impliquant des patients et des visiteurs que n’importe quel autre hôpital de soins de courte durée au Québec, mais il offre nettement moins de sécurité que des établissements de santé comparables, révèle une enquête de la Gazette de Montréal.
La Commission de la sécurité au travail (CNESST) a enquêté sur l’agression contre l’infirmière ainsi que sur un préposé aux malades qui est venu la défendre. La commission a conclu que le Centre universitaire de santé McGill n’avait pas réussi à assurer un milieu de travail sécuritaire pour le personnel de la salle d’urgence de Montréal et a ordonné au CUSM d’apporter des améliorations substantielles sous la menace de sanctions financières.
Une infirmière a déclaré à la Gazette qu’un patient psychiatrique qui s’était échappé de la salle fermée à clé de l’urgence avait découvert l’an dernier avoir vécu subrepticement pendant six semaines dans d’autres parties de l’hôpital.
Notre-Dame a signalé 917 perturbations de ce type en 2016, la dernière année pour laquelle des chiffres complets sont disponibles. Ce nombre est le deuxième plus élevé de la ville, après le 1 923 du général de Montréal. Notre-Dame, qui n’a pas de centre de traumatologie, assure une couverture de sécurité de 1 000 heures par semaine comparativement à environ 800 heures de sécurité par semaine à l’Hôpital général de Montréal.
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