Vous trouverez ci-dessous des extraits de la quatrième partie de la chronique de la Gazette de Montréal sur la sécurité à l’Hôpital général de Montréal, pour l’article complète, cliquez ICI pour visiter la Gazette de Montréal.
En tant qu’infirmière travaillant le quart de nuit dans l’urgence exiguë de l’Hôpital général de Montréal, Sarah (ce n’est pas son vrai nom) a fait face à toutes sortes d’abus au fil des ans.
Elle a été qualifiée de “f-ing bitch” par des patients fâchés de devoir attendre des heures entières. Elle a reçu des menaces de mort de la part d’autres personnes. Elle a été crachée, mordue et frappée, parfois par des patients âgés atteints de démence avancée.
«Dans un milieu hospitalier, lorsqu’un incident de violence physique survient, il y a beaucoup plus de témoins que de victimes directes», a déclaré M. Guay. «Ces personnes peuvent également être touchées par les événements.»
Une étude réalisée l’an dernier par la CNESST, la commission provinciale de sécurité au travail, a révélé que les employés de la santé subissent plus de violence psychologique et physique que toute autre profession, y compris les forces de l’ordre. L’étude a également révélé que la violence dans le secteur de la santé a augmenté de 8,3% entre 2012 et 2015.
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