Un superviseur de l’entretien ménager du CUSM qui utilisait le mot “N” lorsqu’il parlait avec trois employés de l’entretien ménager continuait à rester au travail.
Des sources qui ont demandé à rester anonymes, par peur de représailles, ont confirmé au Blogue de Manuel que l’incident s’était produit au Hôpital général de Montréal vers la fin de la journée le vendredi 9 novembre 2018. Et que, depuis l’incident, le superviseur avait continué à effectuer ses quarts de travail réguliers, malgré le fait que la direction de l’entretien ménager soit au courant de la situation.
Selon Manuel Fernandes, ancien président du syndicat du personnel de soutien du CUSM, les employés impliqués dans des incidents graves sont renvoyés chez eux dans l’attente d’une enquête.
Fernandes a poursuivi en disant qu’il n’était pas surpris que le superviseur de l’entretien ménager soit resté au travail.
“Après 8 mois infructueux pour traiter un dossier de 2015 concernant le code de conduite et la politique de violence, le syndicat devait écrire au PDG du CUSM, Normand Rinfert, pour demander une réunion avec le conseil d’administration”, a déclaré Fernandes, “Ce n’est qu’alors que le Département a pris acte du comportement du superviseur de l’entretien ménager par intérim.”
Le code de conduite du CUSM stipule que la direction, en raison de sa position de «pouvoir», est tenue à un plus haut responsabilité.
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